SERVICES. Début mai, Make Up For Ever a installé au Sephora Champs-Elysées son premier stand Go Pro make up, un espace conçu comme un bar à sushi où les clientes sont invitées à apprendre de nouveaux gestes maquillages.
Éduquer.
Strobing, contouring, matte lips, tie and dye brow… Chaque mois, de nouvelles expressions viennent enrichir le vocabulaire des make-up artist et beauty junky. Pourtant, encore beaucoup de jeunes filles (ou de femmes) n’ont aucune idée de la façon de réaliser ces jeux de pinceaux, certaines ne savent déjà pas comment obtenir un smoky eyes, voire appliquer correctement leur eyeliner.
Décomplexer. Sur ce stand, les 18 boîtes qui défilent, telles des sushis sur un bar japonais, renferment chacune un pas-à-pas pour découvrir une technique, les produits testeurs pour réaliser l’opération et un leaflet explicatif à garder. Make Up For Ever a prévu de proposer onze techniques différentes en permanence, renouvelées chaque mois. «Ce comptoir tournant c’est un concept unique qui permet de voir défiler les différentes propositions et d’essayer des choses qu’on aurait pas osé prendre sur le menu», résume Céline Heuga, directrice marketing Europe de Make Up For Ever.
Accompagner. Le service est gratuit et sans rendez-vous. Des conseillères de la marque se tiennent à disposition des personnes installées sur l’un des six postes de maquillage qui entourent le bar pour leur apprendre à réaliser la technique choisie. Des gestes de professionnelle qu’elles montrent à la cliente en maquillant la moitié du visage, tandis que l’élève prendra le relais pour s’essayer sur l’autre partie. L’apprentissage dure environ de 15 à 20 minutes.
Vivre une expérience. Une fois l’opération terminée, la cliente peut conserver le leaflet qui résume la technique essayée et choisir d’acheter tout ou partie des produits du step by step qu’elle a suivi. «Nous allons plus loin que de vendre des produits, il s’agit de donner aux clientes les armes pour être à l’aise en se maquillant. L’idée est de démocratiser des gestes pro qui peuvent paraître compliqués à la base», conclut Céline Heuga.