-7,5 % Les difficultés s’accentuent en févier pour le rayon hygiène-beauté en grandes surfaces avec un chiffre d’affaires en berne. La baisse se pour- suit sur certaines catégories. La toilette jusqu’alors relativement épargnée
Total hygiène-beauté Les contraintes liées à la crise sanitaire étant toujours impor- tantes, les interactions sociales demeurent très limitées. C’est ainsi que les catégories maquillage, toilette visage (impact négatif de moins de maquillage), parfums, coiffants, déodorants et rasage masculin continuent à reculer très fortement.
À cela s’ajoute l’impossibilité de partir aux sports d’hiver qui se traduit par une chute très importante des ventes des solaires et des ventes de soins mains et lèvres.
La baisse continue de la natalité depuis plusieurs mois impacte quant à elle néga- tivement la catégorie hygiène et soin pour les bébés (-7,6 % sur février).
Enfin, les croissances se font plus modérées sur les savons (+10,1 % contre +33,7 % en janvier), la coloration (+4 % contre +6,8 %) et les dépilatoires.
Il est également possible que certains acheteurs attendent l’arrivée des opéra- tions beauté de mars pour reconstituer leurs stocks sur les produits du quotidien (shampooings, douches, brosses à dents, dentifrices) et pour investir sur des produits plus valorisés (soins visage).
Para de GSA Les périodes se suivent et malheureusement se ressemblent pour les corners parapharmacie des grandes surfaces alimentaires. Les baisses de vente sont lisibles sur toutes les familles de pro- duits témoignant des difficultés globales auxquelles ce circuit doit faire face.